Camargue et taureaux
Début mai (voir mon billet "course camarguaise"), je vous avais raconté mon premier contact avec ce genre de spectacle, dont mon gendre (enfin presque, le mariage est dans quelques jours...) est passionné. J'y suis retourné dimanche dernier, toujours à Saint Laurent d'Aigouze, où l'arène s'appuie contre l'église et où les taureaux sont parqués dans la sacristie.
Cette fois-ci ce fut la journée complète : tri des taureaux le matin dans la manade, petit déjeuner difficile à avaler (l'andouillette, la charcuterie et les saucisses au barbecue à 9h du matin, j'ai du mal!), défilé des taureaux entourés des gardians à cheval sur les 5 km qui séparent la manade de l'arène, déjeuner au restaurant des arènes, puis la course proprement dite.
Je vous livre juste quelques images de cette journée, n'ayant pas de commentaire supplémentaire à faire par rapport à ce que j'ai dit dans mon précédent billet sur le sujet.
La saucisse du petit déjeuner
Ces étendues d'eau s'appellent des roubines.
On voit très bien sur ce taureau qui entre dans l'arène les attributs qu'il faut que les razzeteurs ôtent dans l'ordre : la cocarde entre les deux cornes, les glands sur chaque corne, puis les ficelles qui entourent la base de chaque corne