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oldgaffer
25 octobre 2020

COVID : cas, contaminations et malades

Chaque jour on nous assène un nombre de "cas" qui se déclarent par milliers et battent tout les records.

Que sont ces cas?

C'est le nombre des contaminés détectés, et ce ne sont pas souvent des malades. Or la confusion est savamment entretenue par la propagande officielle qui veut dramatiser. La presse aux journaleux trop souvent incompétents, aux ordres,  parle de cas de COVID alors qu'il ne s'agit que de tests PCR positifs.

COVID : COronaVIrus Disease. Disease veut dire maladie, nom féminin, on doit donc dire la COVID et non le COVID. Cela désigne des malades, ceux qui présentent des signes cliniques et doivent être soignés.

Sur 1000 test PCR positifs, tous recensés comme "cas", il faut compter environ plus de 400 faux positifs et plus de 400 "porteurs sains". Les méthodes trouvent un "cas" chaque fois qu'il y a un fragment de virus, et les méthodes d'amplification trouvent souvent des virus là où il n'y en a pas et là où il y a des restes dégradés d'une vieille infection passée inaperçue. Ces gens-là ne feront pas la maladie et ne la transmettront pas. Pour les autres, on sait que la mortalité ne dépassera pas 2%.

Une dermatologue s'est amusée à envoyer au labo un test PCR neuf, jamais servi, il est revenu positif :

PCR

Ce qu'ils appellent des "cas" est un mauvais indicateur, mais on le garde précieusement car il entretient la peur.

Il n'y a que trois indicateurs à retenir :

Les hospitalisations

Les entrées en réanimation

Les morts.

On nous annonce que tous les trois vont exploser. Mais on ne voit pas grand chose venir.

La COVID n'a engendré aucune surmortalité en 2020 par rapport à 2019.

Les capacités d'accueil des lits de réanimation et d'hospitalisation, largement amputées par nos gouvernants depuis des années, étaient  menacées de saturation bien avant la COVID. Les sous-effectifs et les suppressions de lits rendaient déjà la situation tendue l'an dernier. Il ne se passe rien de plus! Mais on veut encore nous effrayer avec des menaces de saturation qui n'ont rien de réellement nouveau.

À noter qu'aucun des engagements pris au printemps en faveur du personnel soignant n'a été tenu. Ils devront encore se contenter d'applaudissements entre 20H et 20h15.

Mais il faut faire peur encore et toujours pour continuer à bafouer la démocratie et les libertés avec un prétexte sanitaire fallacieux.

En illustration cette carte de mortalité et une mutation nouvelle du virus :

 

carte

 

Cov

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Commentaires
M
Je suis tombée par hasard sur ton article qui correspond tout à fait à ce que je pense. Il devrait être largement diffusé. <br /> <br /> J'en parle largement dans mon second blog consacré aux actualités (mimi1931a).<br /> <br /> Je suis dégoûtée et révoltée. A mon âge, je n'en verrai pas la fin. Tout ce qu'on nous impose ne sert à rien, et au lieu de l'admettre, le gouvernement veut nous retirer plus de libertés.
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M
Edifiant NON?
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P
Toujours assi intéressantes tes chroniques. Je ne suis, en revanche, pas cconvaincue par la féminisation de COVID car disease en anglais est neutre (donc masculin en français) . c’est donc bien la traduction en français (maladie) qui lui fait changer de genre.
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oldgaffer
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