L'édito d'Yves de Kerdrel : le blocage des étudiants gauchistes
Blocages des universités : attention, guignols.
Depuis quelques heures, sur les réseaux sociaux, une vidéo est devenue très populaire. Tournée à la faculté de Tolbiac (dans le XIIIe arrondissement de la capitale), trois étudiants masqués, accompagnés d’un chien, exposent les motifs de leurs blocages. Ce que veulent ces « étudiants » ? « La démission de Macron », « le retrait de la loi ORE (Orientation et Réussite des Etudiants) ». Et ce n’est pas tout ! Ces trois personnes soutiennent également, pêle-mêle, les Kurdes, les cheminots, etc. Cette vidéo pourrait être une parodie digne des meilleures heures de Groland, mais non, elle est bien réelle. Le plus triste (ou le plus pathétique, au choix) ? C’est que, comme à chaque fois, une vingtaine de militants d’extrême-gauche bloquent des universités entières, quand la grande majorité des étudiants, non seulement ne veulent pas de ces blocages, mais sont menacés dans leurs études. Récemment également, d’autres étudiants, ayant exprimé un avis contraire à cette minorité gauchiste ultraviolente, ont été roués de coups. Si seulement ces utopistes étaient non-violents, mais non. Ils prennent exemple. Sur les casseurs d’extrême-gauche, sur les zadistes, sur ces mêmes qui hurlent « mort aux flics », quelques semaines après l’héroïque sacrifice d’Arnaud Beltrame… On pourrait en rire. Mais la place de ces extrémistes n’est pas dans une université, mais en prison.
L’impunité de l’extrême-gauche doit cesser.