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oldgaffer
15 octobre 2016

Le scandale de l'idéologie du réchauffisme

L’idéologie du réchauffisme : le plus grand scandale de notre époque.
La nouvelle religion du réchauffisme, qui utilise de la science fausse, réfute toute critique et ne se prive pas d'attaques ad hominem envers tout misérable qui oserait contester sa Sainte Parole. Les conséquences, ce sont des dépenses aussi pharaoniques qu'inutiles...

 

Donc, par construction et sauf à prendre le risque de se saborder, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette proposition, et il n'est pas étonnant qu'ils aient toujours soigneusement écarté ou minimisé les observations gênantes, ou se soient s'appuyés sur des théories scientifiques douteuses comme, par exemple :

 

-          Le modèle obsolète d'effet de serre d'Arrhénius, réfuté par les physiciens de son époque, et que le GIEC a fort opportunément sorti de son chapeau,

 

-          Inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique…

 

-          Ou encore de postuler que la durée de vie du CO2 « anthropique » est de plus de 100 ans, alors qu’il est établi que, chaque année, un cinquième du CO2 de l'air est absorbé par la biosphère (végétation et océans) et renouvelé par dégazage des océans en zone tropicale et des sols. L’hypothèse que le CO2 « anthropique » aurait la propriété de rester dans l’atmosphère plus de 100 ans, car il serait «  marqué  » comme étant différent du CO2 d’origine naturelle, et donc devrait avoir un comportement spécifique («  exception  » du CO2…), est totalement absurde.

-           

Le Groupe 1 (WG1), chargé de la partie scientifique, fait la synthèse des publications parues dans les revues scientifiques à comité de lecture. Le Groupe 2 (WG2) s’attache à identifier les conséquences du RCA, et le Groupe 3 (WG3) s’occupe des politiques d’adaptation et d’atténuation. Le GIEC n’est donc PAS un organisme scientifique, mais une construction politique onusienne chargée de justifier une idéologie dont les origines proviennent des mouvements écologistes, souvent les plus radicaux.

 

Une fois que le rapport scientifique est rédigé (compilation de nombre de publications judicieusement sélectionnées, parfois au mépris des propres règles de l'organisation- cf l'inclusion en 2007 du rapport Stern au-delà des dates limites de publication et de révision ...), le résumé pour les décideurs (SPM) est préparé entre les dirigeants du GIEC et les représentants des gouvernements, sous la pression plus ou moins amicale des ONG environnementalistes. Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon les bonnes habitudes de l’ONU. De ce fait, le SPM gomme toutes les nuances, toutes les interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver à foison dans le rapport scientifique. 

 

Il est pour le moins étrange que le résumé pour décideurs soit ainsi mis au point et validé par … les représentants des mêmes décideurs. Que dirait-on d'une société industrielle dont les dirigeants contrôleraient le rapport d'audit ? Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux Etats, aux institutions internationales, et aux médias du monde entier pour qu’ils relayent aux peuples de toute la planète la vérité auto-proclamée ainsi établie.

Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques, ou plus exactement la poignée de scientifiques activistes en charge de contrôler le processus, sont priés de mettre le rapport scientifique en conformité avec le SPM, lequel a force de Loi, et leur rapport final ainsi remis dans la Ligne du Parti est publié plusieurs mois après le SPM.

 

Jamais la science n’avait été ainsi encadrée (sauf lors du bolchevisme avec le lyssenkisme) et jamais son éthique la plus élémentaire n’avait été ainsi foulée aux pieds.

 

C’est ainsi que la propagande en faveur des thèses du GIEC est omniprésente, particulièrement en France, et que les médias, ayant perdu toute éthique professionnelle, font preuve d’un soutien inconditionnel au dogme du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique). Les thèses du GIEC permettent ainsi de justifier les plans climat-énergie qui fleurissent comme pâquerettes au printemps dans les pays de l’UE, et qui ont pour conséquence le développement inconsidéré des EnR intermittentes, qui sont la pire des transitions énergétiques. Et toutes les politiques de l’UE (plans climat-énergie, taxes carbone, règlementations contraignantes, agrocarburants …) nous coûtent déjà très cher : les surcoûts de la loi de transition énergétique se montent à 23 Md€ en 2016, selon une analyse de l’IFRAP :  http://www.ifrap.org/agriculture-et-energie/transition-energetique-dites-la-verite-aux-francaiset et ce, pour des prunes.

En effet, supposons que les thèses du GIEC soient exactes. L'UE prévoit de réduire de 20% nos émissions de CO2 pour 2020, afin de sauver la Planète (au passage remarquons combien ce thème est mis en exergue partout, y compris dans la publicité commerciale, sans se préoccuper des humains, seulement des pauvres ours polaires...). La part de CO2 anthropique mesurée dans l'atmosphère est faible : 5% de 400 ppm, soit 20 ppm. La fraction d'origine européenne est de 11%, soit 11% de 5%=0,55 %. La réduire de 20% la fera donc passer de 0,55% à 0,45% en 2020. Et cela conduirait à un impact (selon le GIEC) de 20%*11%*5%=0,1%, donc une limitation du réchauffement de 0,001 à 0,006°C, ce qui est non mesurable. 

 

Dépenser des centaines de milliards d'euros (1000 milliards d’euros pour l’Allemagne) au détriment des ménages et des entreprises pour un si piètre résultat risque de mener l'UE à sa ruine...

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