Climat : vers la fin de l'imposture?

Je viens de lire les travaux de Christian Marchal (Direction Scientifique Générale de l'Office National d'Etudes et de Recherches Aerospatiales). Il en ressort les éléments suivants  :

Le réchauffement climatique, indéniable entre 1975 et 2003, commence à laisser la place à un refroidissement qui sera probablement net dès 2015 ou 2016.

Le gaz carbonique, vital, n'est ni un polluant ni un gaz à effet de serre significatif.

Les forages des grands glaciers, notamment en Antarctique, ont permis de mesurer le gaz carbonique dans les bulles d'air emprisonnées dans les glaces. Il y a eu des élévations de CO2 bien plus fortes que celle que l'on connaît aujourd'hui, à des époques où l'activité de l'homme ne pouvait pas être mise en cause. La corrélation entre le taux de gaz carbonique et la température du globe a toujours existé, c'est l'élévation de température qui fait monter le gaz carbonique par diminution de sa solubilité dans les océans, ce n'est pas l'inverse.

Les réchauffements terrestres ont été concomittants de réchauffements sur Mars et sur des satellites de Jupiter (sauf Io) et de Neptune (Triton), l'ensemble suggérant un lien avec des activités solaires.

De nombreux mathématiciens et physiciens soulignent le manque de sérieux des travaux du GIEC.

L'un après l'autre les états américains du Middle West et du Far West abandonnent la production d'électricité par éolienne, qui coûte bien plus qu'elle ne rapporte et tue de très nombreux oiseaux migrateurs, et plus de 10000 éoliennes désormais sans but rouillent dans les "wind farms" des grandes plaines et des Montagnes Rocheuses.

J'enverrai à qui me le demandera l'intégralité de la publication.